Heureusement, le 31 décembre à 23h59 et 59 secondes, on cessera de taper sur cette pauvre année qui n’avait rien demandé à personne pour s’attaquer à la suivante (#lesgens sont cruels)(à moins qu’à l’instar du nuage radioactif de Tchernobyl qui avait eu le bon goût de s’arrêter à la frontière française, la sombritude ambiante décide de se transformer miraculeusement en niaiserie rose à paillettes dès la première seconde de 2017). Mais bon, ceci m’a tout de même bien fait marrer, donc je partage. Et je promets surtout de revenir truffée d’optimisme très très bientôt, allez.
It’s not a what. It’s a when…