Allons-bon, et moi qui entre deux réflexions valisesques (oui, avec l’âge, j’en viens à commencer mes bagages deux jours avant le départ tellement je suis devenue efficace, mais à ma décharge, cette double-valise-là est vraiment maudite, la faute au parcours à venir et aux climats de l’archipel nippon) cherchais juste une japoniaiserie de base sur Osaka… je me retrouve avec un Kollywood bien sirupeux et crétin de derrière les banyans. Du coup, viens : on va mettre des chapati sous le poisson cru.
Osakka Osakka, extrait de Vanakkam Chennai (qui m’a bien l’air d’être une sacrée daube, tiens).