Je me dis souvent en jouant/entendant du Brahms que je n’ai décidément rien compris – mais alors rien de rien – ni à la vie, ni aux sentiments, ni à l’extase, ni à la pureté, ni au bonheur d’être triste ou à la nostalgie de la plus belle des tendresses. Par exemple, quand je suis dans la 3ème de Brahms (et donc j’y suis en ce moment, pour demain et même jusqu’à dimanche), c’est comme si un univers parallèle s’ouvrait. La réalité s’inverse, une autre émotion palpable s’installe. Et la seule idée possible du bonheur ou de l’amour est un peu comme la vérité dans X-Files : ailleurs.
Tout le reste n’est que miettes…
(normalement, la vidéo doit démarrer à 22’30 histoire de provoquer directement une bouffée de frissons. Mais il n’est pas interdit de se régaler de l’œuvre en entier, évidemment)
Comment ça, je deviens gluante et romantique ? Je te jure que non, d’ailleurs je m’en vais de ce pas crucifier un barbu pour le prouver.
« Crucifier un barbu » j’avoue j’ai bien ri
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On va penser que je cause du hipster du quartier, tu crois ?
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Perso c’est p’as l’envie qui me manque d’en crucifier un ou 2 tiens 😛
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hihihihi
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