Il est des partitions qu’on préfèrerait ne pas devoir jouer. L’éditeur qui gère la location du matériel de cette chose que nous sacrifierons donnerons ce soir semble en avoir plutôt conscience (à noter : la mention « DO NOT MUTILATE » n’a été tamponnée en rouge que sur les partitions de l’harmonie, qui est assise devant une armée de percussions – dont un superbe coquillage rose Barbie – en furie… hasard ?).
Pour ma part, respect du Saint Papier oblige, je me contenterai d’essayer d’oublier La noche de los Mayas sitôt que
1 le public l’aura applaudie parce que la fin sera certainement plutôt marrante dans le genre exotique (et pis je me moque des percussions mais très honnêtement, ce sont eux qui feront le show et le feront bien ce soir)
2 j’aurais retrouvé l’usage de mes tympans.
Je me dis surtout que tout ça ne serait pas arrivé si on s’était contenté d’interpréter le générique des Mystérieuses Cités d’Or en bouquinant Le temple du soleil.
Oh je connais pas du tout. Tu dis, c’est pas grave? Bon.
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Oui oui, tu t’en passeras sans problème 😀
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Wow! C’est… euh… On dirait un orchestre symphonique dans un car, avec tout ses instruments, qui tombe dans un ravin en faisant 42 tonneaux.
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Il y a un peu de ça mais… en même temps je proteste : je n’aimerais pas que ça nous arrive !! 😉
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