Après une nuit peuplée de rêves débiles-mais–finalement-pas-tant-que-ça-quand-on-y-pense, j’en suis arrivée ce matin, en laissant ma réflexion vagabonder un peu, à la conclusion interrogative suivante : je me demande (parce que j’aime enfoncer les portes ouvertes, beaucoup, ne m’en veux pas) si en profitant mieux du présent je n’arriverais pas à me débarrasser un peu – enfin ! – de mon envie chronique de plus/mieux/ailleurs/autre chose/pognon, aussi (rayer la mention inutile, plusieurs réponses autorisées) ? Décidément, l’insouciance, quelle que soit son objet, ne dure jamais assez longtemps… laissons courir et profitons de la légèreté… disons… encore cinq minutes ?
Je vais vous dire, après visionnage de ce court métrage, moi, Twitter, je m’en balance ! #ComprenneQuiPourra ;-D
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Hahahaha, mais j’avais même pas remarqué cet angle de lecture-là ! 😀 #bravo
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La légèreté est la meilleure amie que l’on puisse avoir. Il me semble que cela nous console de bien des choses. Et puis, cela va bien avec « faribole » je trouve.
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Ouais ouais, faut que je dégraisse un peu ma légèreté, en ce moment, elle aurait tendance à jouer dans la catégorie poids lourd, l’imbécile 😀
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