Il ne faut jamais vendre la peau de l’ours avant d’avoir tué un œuf, à ce qu’on raconte (ou un truc dans le genre). Eh ben pour cette saison 21012-2013, il semblerait que le passage en tournée par des pays où non seulement on épluche des ours, mais en plus on en fait du pâté, soit obligé (au Japon, j’avais déjà croisé des emballages surprenants). L’Estonie ne se contente donc pas d’être le paradis de la peau de bête, elle en fait aussi des tartines. Ça n’empêchera pas que j’y ai mangé un des steaks de thon les plus époustouflants de ma vie, ce qui n’a rien à voir avec la terrine mais mérite d’être signalé.
Sinon, l’orchestre (et moi avec) ressemble de plus en plus à un chœur de Traviata tuberculeuses, donc c’est rigolo : je commence à trouver plus simple de compter les musiciens en bonne santé que d’énumérer les blafards agonisants. Sachant que la scène du Musikverein, ici à Vienne, est un mouchoir de poche, moi je dis que ça promet un sacré bouillon de culture…
On notera qu’en Suisse aussi l’homme est un loup pour l’ours… http://goo.gl/OBiYb
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Je boude…
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c’est une conserve d’ours ?!
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Je t’aurais répondu oui tout de suite si tes commentaires n’atterrissaient pas systématiquement dans mes indésirables (ça m’énerve !!)
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Ho dis, tu me raporte du pâté d’ours ? J’échange contre du miam argentin 🙂
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RaporteS…. faloperi de fa rafe.
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Ah, trop tard, sorry 😦 (et j’avoue que comme c’est aussi cher que du foie gras, j’ai pas tenté le truc même pour moi…)
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Le thon, c’est bon… il est de bon ton de le rappeler. Mais le pâté d’ours ça doit être bien aussi. Je soupçonne ta pusillanimité vaguement féminine de t’avoir retenu d’y plonger le canif. J’allais dire ramène m’en une boîte, mais à Wien c’est peut-être un peu tard…
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Non, sérieusement j’avais plutôt peur que ça soit vraiment pas bon 😀 (nous reparlerons de ma sensiblerie devant un film qui saigne quand tu veux, et toc ;-))
Si tu veux, je te ramène une valse ?
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