Je ne dirai rien, sinon je vais encore me mettre dans une rogne démesurée contre l’employée du géant du meuble suédois à cause de qui je vais encore devoir retourner chez dans l’affreux magasin jaune et bleu échanger/rattraper ses oublis. Un samedi après-midi parce que pas le choix.
Non, on va plutôt se rafraîchir les idées, va. Avec une jolie bizarrerie japonaise assez fascinante, légère, aquatico-organico-humano-spatiale. Spéciale, quoi. Je crois que le Japon me manque…
Cokiyu – With My Umbrella