C’est bien dommage qu’on prenne toujours l’avion en classe économique : avec un peu plus de place et tout le temps dont on va disposer en l’air ce dimanche, c’est pas un petit interlude qu’on aurait pu caser pendant le vol pour le Brésil, mais carrément un gros opéra de Wagner !
Postescriptoum : terminer la série de beaux concerts deutscho-français par une salle Pleyel ravie, c’est décidément pas désagréable… et en prime c’est en ligne ici.