Un de ces jours j’apprendrai à mieux juger dans quoi je mets les pieds quand je propose mon aide.
Un de ces jours je saurai dire non, refuser d’être débordée et mieux gérer ma fatigue physique et morale.
Un de ces jours je serai capable de ne pas terminer ce que j’ai à faire à la dernière minute, je serai capable de ne pas me rendre malade d’inquiétude parce que je cherche à me rapprocher de ce que je pense être la perfection, et d’avoir la tête plate en dormant sur mes deux oreilles. Un jour je serai contente de moi au fur et à mesure, et pas juste à la fin, quand je suis morte d’épuisement.
Un de ces jours je saurai apprécier la valeur du vide et ne pas le remplir coûte que coûte avec du travail, même s’il me plait énormément, qu’il m’amuse et que je le vaux/veux bien.
Ouais, tu as compris : c’est un de ces jours où je ne m’aime pas trop. Tiens, passe moi le fouet, tu frappes pas assez fort.
Les jours Groumpfff sont à l’humeur ce que la cocotte-minute est à la vapeur : utile.
A demain
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Pschitt.
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