Aller chez le coiffeur
Perdre mon kilo des festivités d’hier. Car oui, hier était l’occasion ou jamais de me laisser 40 commentaires au moins (tu constates que c’était pas tout à fait ça) (je m’en fous, ma nièce m’a abreuvée de sourires, ses parents et les miens m’ont arrosée de bienveillances, d’amour et diverses autres choses impalpables et bénéfiques, j’en suis encore toute nirvanée).
Et puis il me faut des vacances, j’en ai un poil marre, là. Mais juste un poil.
Je voudrais aussi prendre l’air, et un peu de sauvagerie naturelle au passage.
(Merci encore et encore à La Boîte verte pour les images).
Et pis ma garde-robe me sort par les trous de nez, je veux magasiner ! (mais depuis que j’ai vu cette vidéo, j’ai un peu peur d’y aller seule).
Les vidéos Vodpod ne sont plus disponibles.
Voilà, c’est mon jour de repos. Je veux tout ça, j’en ai besoin, profondément. Mais il est midi passé, je suis toujours en nuisette en voile de satin à pois et en mules à pompons ; je n’ai pas enlevé mes bigoudis, et je suis encore une femme à lunettes. Mon frigo est vide, un violon m’attend avec des partitions difficiles à voir pour demain. Soupir…
Je ne vois qu’une solution : je vais m’offrir des chaussures.
Des chaussures… Je n’ai jamais compris en quoi des chaussures, un sac à main pourraient nous faire nous sentir mieux. Une fois de plus je me demande si je suis vraiment une femme…
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Pourtant, ce soir, je confirme : le pouvoir de la godasse est immense !
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La prochaine fois que tu viens à Paris on se boit un coup pour fêter ça, même en retard. Obligées !
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Yep, forcément. Toujours partante pour fêter quelques chose, de toute façon…
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Ton sens de l’illustration me fascine.
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Si je te dis que le blabla me vient souvent en voyant l’image…
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Un argumentaire imparable.
Bojilfaudraitêtrefoumoï
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J’ai les chaussures et la coupe de cheveux, si c’est pas déjà merveilleux !
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