Je fais une bien piètre groupie de George, parce que, shame on me, j’ignorais qu’une des voix féminines habituelles pour Sway (on y aura entendu Dean Martin, et Frank Sinatra au milieu d’un banc de dindes hystériques aussi), c’était sa tata Rosemary Clooney. C’est chaud et timbré, c’est mambo et saxo, when we sway I go weak, tout ça tout ça.
Les vidéos Vodpod ne sont plus disponibles.Dans la foulée, j’ai tenté un brin de plongée dans la grosse carrière qui chante et qui danse de cette Madame Clooney (IMBD, Ouiki). Et quand je la découvre en image, je trouve plutôt opportun que Rosemary’s Baby-George n’ait pas volé à sa tante son goût pour les déguisements de berlingots. Quoique ça pourrait être drôle, quand on y pense…
En couleur, c’est pas mal non plus, d’ailleurs. Sans rire, George, tu es sûr de ne pas aimer le rouge et le rose ?
Waouh, à l’époque on n’avait pas peur des rondeurs féminines… c’était quand-même moins triste que tous ces squelettes anorexiques qui hantent les scènes et les podiums!
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Ah oui ! Ce qui me fait toujours sourire, c’est surtout que a mode « lingerie » de l’époque était faite pour tout faire ressortir, marquer la taille pour arrondir les fesses et rendre la poitrine encore plus arrogante. C’est sûr que c’est une bonne claque à la mode androgyne instaurée par les Lagerfeld et consorts…
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Ah je croyais que c’était sa mère qui chantait tiens… bon.
N’empêche elles étaient classes ces nanas à l’époque : de la personnalité, pas chichiteuse, de l’humour… j’adore !
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Oui, je trouve que ça fout la pêche !
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